jeudi 20 février 2014

Black Bird de Kanoko Sakurakôji




Black Bird
Kanoko Sakurakôji
(18 tomes parus)
Pika

Résumé : En gros, l’histoire d’une jeune lycéenne, Misao, qui retrouve son amour d’enfance, Kyo, qui se trouve être un Yokaï (en gros, un démon japonais, pour ceux qui sont, comme moi des vraies daubes en mythologie japonaise). À travers dix-huit tomes, on suit leur histoire d’amour et tous les ennemis qu’ils doivent affronter pour être ensemble.


Mon avis :
Ce Manga fait partie d’une des trois séries que j’ai fini en mangas (avec Hana Kimi et Flowers for Seri) et elle a bien de la chance d’être finie. C’est une série assez inégale, en fait. Parce que dès qu’on lit un excellent tome, le prochain est nul, il se passe rien et on s’ennuie. Mais avant d’aller plus loin dans la critique, je tiens à préciser que ce n’est pas une série pour enfant. C’est très loin du Yaoi hard mais voilà quoi, je veux pas qu’on m’accuse de détruire l’innocence de jeunes enfants. ^^

Bref, je disais donc qu’à chaque fois que je trouvais un tome bien, que je mourrais d’envie d’aller lire la suite sur internet, en anglais, le suivant était mou et toute l’ambiance parfois inquiétante et sombre retombait comme un soufflé. Au final, je suis contente de l’avoir finie, mais plus parce que je voulais connaître le fin mot de l’histoire. En gros, Misao est la senka, une personne super rare que les démons recherchent, soient pour la manger (littéralement) pour accroître leur puissance, soit faire d’elle leur femme (comme c’est pratique, c’est exactement ce que veut Kyo) afin d’accroître le prestige et la puissance de leur clan. Or, beaucoup de monde veut Misao. Bien sûr, Kyo fait tout ce qu’il peut pour la protéger, et bien sûr Misao fait tout ce qu’elle peut pour se mettre dans les emmerdes, sinon, c’est pas drôle. 

Sérieusement, j’en ai marre des héroïnes de mangas niaises et qui pensent que tout le monde cache un bisounours au fond de soi. L’intrigue principale est qu’il y a un ouvrage qui raconte la vie passée d’une senka, qui aimait un Yokaï. Mais leur histoire a mal finie et tout ça. Sauf que nos deux héros se retrouvent confrontés à la même situation et qu’ils doivent trouver un moyen pour être enfin heureux ensemble sans mettre en péril la vie de Misao. J’attendais la fin avec impatience, pour savoir comment ils allaient faire pour se dépatouiller de l’emmerde dans laquelle ils s’étaient mis. 

Je pourrais au moins leur accorder le crédit de m’avoir surprise, parce que je voyais pas trop comment Kyo pouvait sauver Misao. Je ne vous spoile pas en disant qu’il a réussi (c’est un shojo, hein, je connais pas beaucoup de shojo qui finisse mal…à vrai dire, aucun) mais que je reste un peu déçue sur la manière dont il s’y est pris. Je sais pas, ça manque de quelque chose. C’est crédible (autant que peut l’être un shojo) mais il me manque un truc.
Je dirais entre 13 et 14/20 pour la note. C’est bien, mais inégal. Et comme souvent dans les shojos, on a envie de baffer l’héroïne, mais bon ça, on commence à être habituée. ^^
 
Gaef

2 commentaires:

  1. Si tu as marre des héroïne de shojo complètement niaise je te conseil de lire l'arcane de l'aube ou lovey dovey (chui pas sure que sa s'écrive comme sa ..mai bon )
    Sirisse

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    1. Je connais Lovey Dovey, je crois que j'ai du lire les scans. Par contre, je ne connais pas l'arcane de l'aube (je suis très loin d'être une spécialiste de mangas) mais je vais aller me renseigner.

      Merci de ton passage.
      Gaef

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